When the fight was over, nothing was solved, but nothing mattered.

La blonde sourit en fermant les yeux, appréciant les caresses autant que l'eau chaude. Cette suite était définitivement une excellente idée, le jacuzzi l'aidant particulièrement bien à oublier ses frustrations.

"On pille pas que des marchands, mes cibles préférées étant les vaisseaux esclavagistes, mais ouais, j'comprends. Par contre, moi j'trouve pas ce coté d'toi dommage, au contraire. Tu fais ton propre chemin, j'ai beaucoup d'respect pour ça. Et puis..."

Elle rouvre les yeux puis se retourne pour lui faire face, espiègle, et ajoute tout en l'arrosant légèrement :

"...on aurait eu un problème toi et moi si t'avais été militaire. Ce qui aurait été dommage."

Arf, il se prend l'eau dans la figure. Mais il reste digne et ne lui renvoie pas la pareil. Par contre une réplique lui vient en tête et il la regarde donc avec un sourire narquois.

- mais non. On aurait eu aucun problème. Ils autorisent les visites en prison et sous certaines conditions on aurait pu avoir de l'intimité. Donc voilà, je te pourchasse, je te mets en taule, MAIS on continue de se donner du plaisir. dit-il avec son air satisfait de sa connerie et content de lui.

Mwho, il tente de rester fier et digne après s'être pris de l'eau en pleine gueule. C'est mignon, ca fait rire la blonde.  Elle secoue néanmoins la tête à la négative après ses paroles, une moue amusée et peu impressionnée se dessinant sur ses traits.

"Nan. Même pas dans tes rêves que tu m'aurais attrapé. Ni que j'aurais eu la moindre intimité avec un militaire, j'ai un minimum de respect personnel, qu'est-ce que tu crois?"

Hannabeth s'installe de l'autre coté de la baignoire, face à Zélio, et pose son pied contre la poitrine du brun pour le tenir à distance avec un air de défi amusé.

- Non mais on imagine que je deviens corsaire ou militaire maintenant. C'est fait on a déjà été intime et on sait que désormais tu voudrais plus te passer de mes formidables services quand tu en as l'occasion. Donc je te capture…il sourit

Soudainement d'un geste vif il attrape le pied de la belle et tire sur la jambe, puis d'une prise très efficace mais pas douloureuse se retrouve avec Beth enfermée dans ses bras puissant contre son torse et face à lui.

- comme ceci. Et ensuite je te livre aux autorités mais comme tu es pas rancunière on continue à faire du sexe tous les deux. explique Zélio.

Hannabeth sait qu'il plaisante, qu'il n'a aucune envie de travailler pour qui que ce soit, mais son insistance sur le fait de devenir Corsaire et l'attraper la met soudainement mal à l'aise. Elle sait bien que ses réflexions alors relèvent plus de la paranoïa que de réelles possibilités, mais elle ne le connaît pas encore très bien. Et si tout ca n'était qu'une ruse pour atteindre l'Albatros? Si elle avait tord de commencer à lui faire confiance? La capitaine parvient rapidement à chasser l'ombre qui était apparu sur son visage. Elle n'a pas envie de s'en faire avec ca, maintenant qu'elle va enfin un peu mieux, et se force donc à repousser ses réflexes de méfiance.

La blonde ouvre la bouche pour répliquer, mais Zélio attrape alors sa jambe pour l'attirer de nouveau à lui, la coupant dans son élan. Passer la surprise du mouvement rapide, elle lui sourit et attrape son menton d'une main pour maintenir son visage lever vers le sien.

"J'ai plutôt l'impression que c'est toi qui peut plus te passer d'moi. Donc si t'as à choisir entre me livrer aux autorités et continuer à avoir mon intérêt..."

Elle rapproche son visage du sien, frôlant ses lèvres, puis terminé, charmeuse :

"... j'm'en fais pas pour ma liberté."

Il la serre doucement dans ses bras et fait comme s'il allait l'embrasser mais se recule soudainement.

- tu crois ? demande-t-il avec un air inquiet. Une capitaine pirate, à la subtilité inférieur à celle d'un artilleur, tatouée et je pourrais plus me passer de toi ? enchaine le combattant.

Il prend le temps de réfléchir.

- c'est vrai qu'on rigole bien ensemble et que je me sens libre de te faire tout ce dont j'ai envie dans un lit. Mais dois-je passer sous silence cette odeur de chien mouillé qui te colle à la peau… et je parle pas des poils qui eux collent à tes vêtements. ajoute Zélio. Et c'est là que je me sens terriblement inférieur à ton chien. Si tu devais choisir entre lui et moi je connais ton choix et mon égo s'en remet pas. Je suis moins important qu'un chien.

Il a l'air traumatisé… faussement traumatisé.

- dans ces conditions je suis au regret de t'informer que j'ai durci mon cœur et que je peux me passer de toi. annonce-t-il l'air grave. Heureusement pour toi présentement j'ai pas envie.

Et il l'embrasse.

La blonde penche la tête de côté et hausse un sourcil, dissimulant son sourire amusé derrière une expression offensée.

"Pour un tatoué à la subtilité bien ancrée sous la barre des négatifs, qui cogne professionnellement pour gagner sa vie... ouais, j'crois carrément. Même que t'as d'la chance, biquet."

Puis Zélio se la joue victime et lui dit qu'elle sent le chien mouillé, ce qui a pour résultat de faire éclater le rire la capitaine pirate. Elle l'arrose ensuite de nouveau, secouant la tête avec une expression de fausse exaspération, les étincelles d'amusement dans ses yeux la trahissant.

"T'es un idiot..."

Il vient alors l'embrasser, mais elle y met fin rapidement tout en s'extirpant de ses bras pour aller reprendre sa place de l'autre côté du jacuzzi. Il veut jouer à ce jeu? Parfaite, elle sait jouer elle aussi.

"Oh non, pas si facilement. Si j'sens aussi terrible que ça, j'vais t'épargner ma proximité. Toi et ton coeur de pierre devrez survivre, non?"

Hannabeth attrape le savon en forme de coeur et le lui lance avant d'attraper une barre plus traditionnelle pour elle-même.

"Tiens, pour remplacer l'autre."

Il attrape le savon en forme de cœur. Et aura un autre sourire narquois.

- moh… tu m'offres ton cœur. C'est tellement mignon. dit-il en serrant le savon contre son cœur avec un sourire béat et imbécile. Je vais pas oser me laver avec. qu'il ajoute alors embêté.

Il cherche dans la boite à savon un truc pour lui rendre la pareil. Mais surprise il ne trouve pas ce qu'il cherche. Il a l'air terriblement déçu.

- je voulais t'offrir mon sexe… mais ils font pas de savon avec cette forme. dit-il désolé.

Hannabeth tire une drôle de tête à ses premiers mots. Elle sait qu'il plaisante. Qu'il ne croit pas réellement que c'est ce qu'elle a voulu dire en lui lançant le savon. Mais comme pour tout ce qui touche ce sujet, la blonde se sent aussitôt inconfortable et cette fois, elle ne parvient pas aussi bien à le cacher. Heureusement, l'humour est une arme qu'elle manie bien elle aussi.

"Pas l'mien idiot. Comme tout ce qu'il y a dans ce panier, il doit appartenir au maître d’hôtel. Il semblait impressionné par tes muscles d'ailleurs, si ça t'intéresse, j'crois que tu pourrais bien avoir une touche avec lui."

Puis Zélio lui sort sa dernière connerie et, comme par magie, le malaise d'Hannabeth s'envole en même temps que son éclat de rire. Elle le repousse alors de l'épaule pour le renvoyer dans son coin, prenant un étonnant plaisir à leurs chamailleries

"C'est charmant,vraiment. Juste l'idée que c'est quelque chose que tu voudrais m'offrir met tous les Casanova de ce monde à la honte. Je sais franchement pas c'que j'attends, un homme romantique comme ça, c'est du pur matériel à marier."

Il note que le sujet est du genre tendu avec elle. Visiblement l'engagement lui fait peur. Mais bon c'est pas un problème puisqu'il ne compte pas s'engager à nouveau dans l'immédiat. Il ne se sent absolument pas prêt. D'un autre côté il ne s'est jamais engagé avec quiconque en dehors de sa fille.

- je pourrais faire preuve de romantisme tu sais. Je sais faire. Mais tu vas t'enfuir en courant en pensant que je veux ce genre de relation avec toi. Alors que je veux juste ton petit cul. annonce Zélio tranquillement.

Soudainement il traverse la baignoire et vient se coller à elle en la surplombant. Ainsi il plonge son regard dans les yeux de la belle.

Mais si tu préfères je peux te parler de tes yeux qui voguent entre la violence, la tristesse et l'amusement. Des yeux qui qui captivent, envoutent et séduisent les plus farouches combattants de Dorado et leur imposent le respect. commence Zélio alors que sa main vient caresser la joue de la belle. C'est sans doute ces yeux, miroir d'une âme brisée, qui font de toi une personne unique.

Et il vient l'embrasser avec fougue et passion.

La blonde lève les bras et les yeux au ciel dans un grand mouvement d'exaspération théâtral. Elle dissimule mal son hilarité mais au point ou ils en sont, elle s'en fou particulièrement.

"Ah bha bravo, maintenant tu me dis qu'tu fais que profiter d'mon corps! T'es un as de la séduction, vraiment."

Elle n'ajoute rien sur la possibilité qu'elle se sauve en courant, mais il a tout à fait raison. Zélio la prend alors par surprise en revenant vers elle et Hannabeth doit déployer tout ce qu'elle a de contrôle personnel pour maîtriser son expression. Elle doit rougir un peu néanmoins, mais avec un peu de chance, cela passera sous la responsabilité de l'eau chaude du jacuzzi.

On ne lui a jamais dit des mots comme ça. Pas réellement. Le seul homme qu'elle s'était autorisée à aimer ne l'avait complimenté que pour mieux la manipuler. Mais là non plus, ce n'est pas vrai. Zélio ne dit ces mots que pour prouver un point et par humour. Il n'est pas sérieux, ne les pense pas vraiment. Le pire néanmoins, c'est probablement de réaliser que quelque part, elle aurait aimé qu'il le soit.

Hannabeth reste donc un instant figée avant de lui rendre son baiser. Elle s’envoie alors elle-même balader, elle et ses putains de problèmes, et fait monter l'intensité d'un cran. Elle n'a plus envie de parler ni de devoir s'expliquer.

Ils s'embrassent avec passions et au bout d'un moment Zélio y met fin et se recule doucement. Le Jacuzzi c'est chaud et il aime pas faire des trucs dans la chaleur.

- tu sais que tu as rougi ? qu'il demande l'air de rien en sortant de la baignoire brûlante et en se dirigeant vers la douche qu'il souhaite prendre froide.

Lorsque Zélio met fin à leur baiser pour sortir de la baignoire, Hannabeth ne le suit pas, ayant envie d'être un peu seule. Elle n'a pas apprécié le coup de connard que lui a joué son subconscient. La blonde reste donc dans l'eau chaude, s'installant plus confortablement maintenant qu'elle a tout l'espace pour elle. À sa réplique, elle grogne simplement avant de répliquer d'un ton bourru :

"Shut up."

Il sourit et va se prendre une douche froide. C'est revigorant et ça fait du bien cette eau qui coule sur lui et rafraichit un peu son corps. Il se délasse un bon moment avant de quitter finalement la douche. Il attrape une serviette et se sèche avant de la passer autour de sa taille.

- tu es mignonne quand tu rougis… capitaine. continue Zélio avec un grand sourire

Hannabeth prend le temps de noyer sa frustration contre elle-même dans les bulles du bain. Elle se lave ensuite, se détendant encore davantage avec l'odeur d'agrumes du savon, puis sort enfin. La blonde en est à essorer ses cheveux avec une serviette lorsque Zélio sort de sa douche, et cette fois, elle est préparée à recevoir sa remarque et il ne l'ébranle donc pas de nouveau. Elle se contente de lui renvoyer un regard ironique avant de répondre :

"T'es fier de toi, hein? J'avoue qu'tu m'a prise pas surprise, c'était bien joué."

Comme elle ne croit toujours pas qu'il lui a parlé avec sincérité, mais uniquement dans le but de lui prouver qu'il savait bien jouer ce jeu-là, elle lui lance un sourire amusé et ajoute :

"T'as été les pêcher ou, ces phrases, d'ailleurs? Dans un téléroman à l'eau de rose? Je croyais pas que c'était ton genre de divertissement, mais je juge pas, j'te jure."

Elle attaque la petite, combative hein. Il aime ça.

- Mince je suis découvert…. quel drame. Tu n'en parleras pas hein ? demande Zélio tout décontenancé. Une chance quand même que dans les téléromans on trouve de tout et notamment des mots tellement adaptés à chaque situation qu'on pourrait croire qu'ils sont vrais. ajoute-t-il avec un petit sourire en coin. Un chance aussi que je sois capable de mémoriser toutes les phrases chocs de ces romans… je suis un génie. dit-il finalement.

Il se dirige vers elle doucement.

- heureusement que ton corps est plus explicite que ton esprit. achève-t-il en parlant de sa petite rougeur indiscrète.

Elle sourit, amusée devant sa théâtralité faussement dramatique, puis hausse un sourcil devant l'ironie de ses paroles. Il veut lui faire croire que ses paroles étaient vraies maintenant? Ouais, non définitivement, ça va prendre beaucoup plus que ça pour la convaincre. Hannabeth lui lance un air complice puis met une main sur son coeur, comme pour porter serment, avant de rétorquer avec humour :

"J'te promets que ton secret sera bien gardé avec moi."

Zélio vient ensuite vers elle et la blonde ne s'écarte pas. Elle vint plutôt glisser ses mains de chaque côté des hanches du combattant en levant la tête vers son visage, lui offrant une grimace à demi agacée lorsqu'il ramène une troisième fois sa rougeur sur le tapis, mais cette fois, une étincelle de malice brille dans ses yeux clairs.

"Faudrait pas que j'sois trop facile à lire, quand même, tu t'ennuierais rapidement sinon."

Puis, prenant comme un défi de lui rendre au moins un peu de la monnaie de sa pièce, ses mains remontent lentement jusqu'à son visage pour l'attirer vers le sien alors qu'elle se hisse sur la pointe des pieds pour se rapprocher de lui et le regarder dans les yeux. Sa voix se fait alors plus basse, presque rauque, alors qu'elle souffle :

"Parce que si pour toi mes yeux me rendent vraiment unique, j'ai pas envie d'arrêter maintenant de me regarder dans les tiens."

Elle vient chercher ses lèvres, doucement d'abord, puis en crescendo passionné.

- tu as raison, je me lasse rapidement. confirme Zélio. Il faut garder du mystère.

Elle vient l'embrasser et il suit donc le baiser. Cette fois ça ne le dérange pas d'approfondir ce dernier il n'est plus dans un bouillon d'eau chaude insupportable pour autre chose que de rester immobile et se détendre. Au bout d'un moment il finit par s'échauffer un peu. Ce qui commence à faire beaucoup pour cette nuit. Il se demande si elle n'est jamais fatiguée.

Il regarde le lit nuptiale derrière lui et se demande si c'est vraiment approprié. D'un autre coté il va pas encore le faire contre la porte de la suite. Ca manque un tantinet de discrétion.

Hannabeth termine de chasser les traces de son malaise dans leur baiser, profitant du moment en se forçant à cesser de réfléchir et se poser des questions idiotes. Lorsqu'il lance un regard vers le lit, la blonde interprète mal ses intentions et se détache de lui pour s'avancer vers celui-ci.

"Tu veux qu'on bouge le matelas contre la porte ici aussi?"

Il n'y a pas d'humour, d'exaspération ou de jugement dans sa question. Simplement un réel intérêt pour ce avec quoi il sera le plus à l'aise. Les autres avant elle, toujours. Elle ajoutera néanmoins avec un sourire en coin :

"À moins qu'tu ne préfères pas dormir avec moi. Les poils de chien, tout ça."

Il réfléchit une seconde. Parce qu'en fait c'est dangereux qu'elle dorme avec lui contre la porte. D'un autre côté elle sait se battre et elle est pas du genre à rester en arrière en laissant un autre au front de toute façon.

- on bouge le matelas. Je suis frileux et tu tiens chaud… Je veux pas attraper froid alors je vais dormir avec toi. dit-il en la libérant pour aller chercher le matelas.

C'est lourd cette saloperie. Il est épais en plus celui-là. Il faudra l'aide de la vielle pour le mettre en position sans trop en chier. Les trucs encombrants c'est pire que les trucs lourds.

Elle tire une nouvelle grimace tout en commençant à retirer les couvertures et nombreux oreillers du lit.

"C'est c'que j'disais, uniquement là pour mon corps, tss. Mais bon, j'voudrais pas qu't'attrapes froid par ma faute."

La blonde l'aide ensuite à transporter le matelas, non sans quelques difficultés et fous rires, puis refait le lit avant d'y lancer la tonne d'oreillers. Aussi bien profiter de tous les avantages de cette suite nuptiale, surtout qu'elle ne prévoit pas retourner dans l'une d'elles un jour volontairement. Hannabeth a arrêté de croire qu'on pourrait l'aimer de sorte à justifier ce genre de choses il y a bien longtemps.

La capitaine pirate éteint la lumière en étouffant un bâillement, puis réalise en jetant un œil à son HCom qu'ils sont déjà aux petites hures du matin, avec toute cette histoire d'intrusion. Elle se sent alors lourdement fatiguée et se glisse dans les couvertures en attendant que Zélio la rejoigne. S'il l'utilise comme bouillotte, c'est la moindre des choses qu'elle se serve de lui comme oreiller principal, non?

Zélio vient se blottir dans le lit avec la blonde. Il vient la prendre dans ses bras et se serre contre elle. Content qu'elle veuille dormir parce qu'il est fatigué et n'a plus vraiment l'énergie pour la faire crier comme tout à l'heure. Il s'installe donc bien confortablement contre le corps qui va lui servir de bouillotte officiellement du moins. Il est pas frileux.

- n'empêche que tu es mignonne quand tu rougis. dit-il alors que le sommeil le prend doucement.

Hannabeth se blottit dans ses bras en fermant les yeux, trop fatiguée pour angoisser à l'idée qu'une nouvelle catastrophe leur tombe sur la tête dans leur sommeil. Elle passe les bras autour de sa taille et enfouis sa tête dans le creux de son cou, endroit de plus en plus familier qu'elle retrouve avec plaisir. La blonde avait déjà commencé à sombrer dans le sommeil lorsqu'il évoque de nouveau son rougissement. Elle grogne alors, mais sans se décoller de lui réplique simplement :

"Ça y est, c'est la fois de trop. Maintenant je suis obligée de tout tenter pour te faire rougir toi aussi, question de fierté personnelle."

En dépit de ses paroles, elle le serre un peu plus fort contre elle, peut-être une sorte de remerciement pour le compliment malgré tout.

Il sourit et se love contre elle alors que le sommeil le gagne.

- je rougis pas beauté, je suis un homme qui a tout vu. Tu peux essayer de me faire pleurer par contre… ça c'est possible. dit-il en s'endormant.

Il aime bien la capitaine, même si c'est une pirate. C'est pas prise de tête les moments ensembles et ça n'a pas de prix.