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Ren'anwë Tìe'kluü
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Ren'anwë Tìe'kluü
The Eye pour l'Albatros

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Âge16 ans

GénétiqueMo'at

SexeFéminin

CultureDorado

AffiliationPirates

NavireL'Albatros

PosteApprentie hackeuse

Ren'anwë Tìe'kluü
Vos mains qui sont tout près et pourtant si lointaines
Vos mains que vous posiez sur la vitre du temps
Sont venues ce matin causer avec les miennes
Quand s’en sont retournées mon coeur était dedans
Vos mains qui sont tout près et pourtant si lointaines.
Description
Petit bout de femme en devenir, tu abordes déjà de jolies formes qui à défaut d’être généreuses, te promettent une silhouette agréable. Et même si tu y trouves quelques petits détails sur lesquels complexer -et que ton amour pour les sucreries et les activités peu sportives ne saurait arranger- et qui sont d’autant plus titillés lorsque tu croises de jolies femmes sur ta route, tu ne t’attardes pas trop dessus non plus. Tu as tes points fort qui viennent balancer. Tu aimes ta peau mate qui donne l’impression que tu es toujours bronzé même après des mois sans sentir les rayons du soleil dessus, de même que tes grands yeux pervenche qui mangent ton visage lorsque tu les écarquilles devant une nouvelle découverte. Des sourcils sombres, infiniment expressifs, de jolies lèvres pulpeuses que tu mâchonnes quand tu réfléchis et qui s'entoure d'enfantines fossettes lorsque tu souris, un nez qui se retrousse devant les problèmes, tout pour te faire ressembler à un livre ouvert qui réussit souvent à se passer de mots pour qui prend le temps de t’observer un peu.

Rien d’exceptionnel, mais une jolie fille dont les dernières miettes d’enfance arrondissent encore les traits, charmante dans son expressivité, ses mimiques, une voix un brin basse qui porte peu, son parlé rodé par presque une décennie à fréquenter des équipages, mais toujours empreint de la mélodie de ses origines que personne n’aura su éclipser.

Style vestimentaire : Les vêtements ! Tu les aimes. Non. Les adore ! Après trop de temps à ne rien choisir, te contenter de ce qu’on te donnait, tu as très vite apprécié les joies du shopping. C’est une façon de t’exprimer comme une autre, à travers une foule de possibilités et de couleurs. Tu affectionnes particulièrement les robes qui vont au genou et sous lesquelles tu enfiles un legging, les sarouels ou encore un bon vieux jeans usés et confortable. Un brin frileuse, tu sors rarement sans mettre une veste ou un manteau, sans manquer de veiller à ce qu'il s'agence au reste. Par contre, tu n’as aucun intérêt pour les jupes, ni pour les vêtements trop courts ou qui dévoilent trop de ta peau, autrement, tout te convient.

Tu aime particulièrement observer au quotidien ce que portent les dames de l'équipage, te laissant parfois influencer par les goûts de Lawrence ou Modestie, voir même Hannabeth... Et nettement moins par ceux de Noor'hayl -étrangement-.

Signes particuliers : La première chose qui frappe lorsqu’un regard tombe sur toi c’est ta coupe atypique, asymétrique et surtout, toute en couleurs. Un côté est en parti rasé, étagé de courtes bandes capillaires bleus et l’autre, une crinière étonnamment épaisse, ondulée vers les pointes, dans un dégradé de bleus, de violet et de rose tirant parfois vers le rouge. S’il t’arrive parfois de varier un peu les couleurs, tu reviens généralement vers cette palette, fière du résultat. De même, tu n’hésites pas à étaler des ombres à paupières au-dessus de tes yeux, voir souligner ton regard d’un peu de khôl. Enfin, tu apprécies les bijoux, t’ayant fait récemment percer les oreilles pour mieux les alourdir de métaux.

Depuis peu, une petite mo'eylan prénommée Hilton ne quitte jamais tes alentours. Cadeau de Nick, le faussaire de l'Albatros , cette petite choses au caractère déjà bien affirmé t’égaies constamment.
Caractère
Le bonheur simple, sourire aux lèvres et le rire facile. Tu profites de ta jeune liberté avec une miette d'hébétude, profitant de chaque journée qu'on te donne.

Tu es un courant d’air frais dans l’espace. On ne le remarque pas toujours, il n’est pas nécessairement puissant, mais il fait du bien où il passe. Une demoiselle de nature discrète, qui ne prend pas beaucoup de place, ne cherche ni l'attention, ni à se mettre aux devants de la scène, mais dont la présence se fait regretter quand elle n’est pas là. Définitivement sociable et avenante, même si un brin timide aux premiers abords, tu crois définitivement en l’autre, pouvant offrir aisément ta confiance, ce qui ne signifie pas que tu en laisses abuser sans broncher.

Si tu aimes bien rendre service et donner de ton temps pour les autres, tu as également tendance à être susceptible comme le sait fort bien un certain jeune homme aux frasques sociales aussi grandes qu’un Kaiji'teylar, mais heureusement pour lui comme pour d’autres, tu n’es pas rancunière.

De même, si tu ne craches pas sur un peu de solitude, confortablement callé dans un coin avec le nez contre ton Hcom à étudier la moindre mécanique des vaisseaux ou simplement à t’adonner au plaisir d’une bonne histoire, tu préfères tout de même largement être entouré. Tu es d’ailleurs bien connu parmi l’équipage de l’Albatros pour chercher à les réunir le plus souvent possible, notamment autour d’un repas. Peu importe qu’ils soient pirates, tu les considères comme ta famille et espère sincèrement que le sentiment soit rendu. Tu oses même croire que tu y arrives un peu et tu t’es attaché particulièrement à certains membres, trouvant même des sœurs en les personnes d’Hannabeth Alvarez et Croyance Profitendieu.

Bien que les rassemblements soient synonymes de joie pour toi, il est malheureusement bien connu que le ton peu vite monter entre pirates, voir les poings se lever, et c’est quelque chose qui te tétanise invariablement. Tu détestes, pire, crains la violence qui te ramène à des souvenirs qui n’ont rien d’heureux. Les abordages et autres escarmouches animent d’ailleurs sans mal tes cauchemars au creux de la nuit, terrorisée à l’idée de perdre une personne qui t’es chère ou de retrouver des chaînes. Il s’y mêle un sentiment de frustration, car tu sais très bien que tu te laisses être plus que vulnérable au risque de mettre en danger les autres, mais tu n’arrives toujours pas à passer par-dessus tes craintes pour apprendre et surtout te battre.

Avec le temps et une meilleure compréhension de l’histoire et des rouages de Dorado, tu en es venu à voir les factions dans leur globalité d’un mauvais œil et détester tout particulièrement la Trinité. Toutefois, c’est grâce aux origines variées de ton équipage ainsi qu’à ton protecteur trinitaire de ces années où tu étais esclave que tu parviens à faire la différence entre faction et individu. Ainsi, tu ne honnis personne pour son appartenance à une faction, préférant te baser sur ses actes et paroles pour déterminer ton ressentis à son égard, ce qui en soit, est une jolie marque de sagesse pour une si jeune personne. Ce qui ne t’empêche toutefois pas d’user de tes talents pour aider les pirates ou corsaires à nuire le plus possible aux factions sans la moindre hésitation ou remord.

Bien sur, il n'arrive rien pour rien et tu ne voudrais pas être ailleurs que sur l'Albatros, mais tu n'oublies pas ce qu'on t'as enlevé ou le chemin difficile qui t'as mené jusqu'à aujourd'hui. Si tu n'oublies pas qui en est imputable et ne vis pas pour la vengeance, tu souhaites tout de même que plus personne n'ait à subir cela.
Histoire
Tu te rappelles la brise dans tes cheveux.
Le bruissement des feuilles, la musicalité de la faune.
Tu te rappelles le coloris de sa robe emperlée.
Sa voix qui calmait tes chagrins et portait tes rêves.

Tu te rappelles les larmes et le sang sur tes joues.
Le craquement de la hutte enflammée, les hurlements des Tìe’kluü.
Tu te rappelles l’éclat du métal dans la nuit infernale.
Sa voix qui n’appartient plus qu’à tes songes.



Des souvenirs qui sont cendres sur ta langue, gangrène d’un cœur blessé trop tôt. Ils font cauchemars de tes nuits et hagardement de l’aube.

Enfant perdue et choquée, tu n’as pas compris, le jour où tu t’es retrouvé dans ce domaine au luxe omniprésent et vulgaire. La réalité t’a rattrapée plus tard, glaçante et crue, quand tu as su appréhender les événements d’un regard plus mature, plus connaissant de ce monde où on t’avait précipité de force. Quand tu as pu comprendre ce qu’ils avaient fait, ce qu’ils t’avaient fait.

Ils t’ont appris à ne plus t’appartenir.
Ils t’ont appris l’obéissance qui se passe de questions.
Une existence d’asservissement.

Une petite poupée aux couleurs exotiques et au regard d’un bleu aussi profond que l’océan sous un ciel dégagé. Une si jolie chose à avoir. Ça s’extasie un moment, puis ça déchante vite face à ta tristesse hagarde d’orpheline et tes frasques d’enfant trop maladroite pour son propre bien.

Critiquée, punie, mise de côté. Si la volonté de plaire est là, elle ne sait convenir aux exigences toujours plus strictes et c’est ainsi qu’après deux ans, tu es à nouveau déraciné. Les visages s’égarent, se floutent à ta mémoire alors que les noms s’effleurent du bout de la langue sans y trouver prise. Tu y étais, sans y être vraiment, sans que cet endroit ne puisse jamais s’apparenter à une esquisse de chez soi, tout juste une cage d’où le ciel paraissait si bleu et attractif.

Tu ne pensais pas l’atteindre un jour.

Et pourtant…


Tu te rappelles l’angoisse accablée de ceux qui ne sont plus rien.
Le bruissement dérangeant des chaînes, les sanglots étouffés.
Tu te rappelles les prières murmurées, relayées au vide.
Et la bourse sonnante et trébuchante changeant de mains devant toi.

Tu te rappelles le bruit déconcertant de tes pas sur la carlingue.
L’assourdis des moteurs, les cliquetis fascinants des claviers.
Tu te rappelles toutes ces étoiles qui te chuchotaient ta petitesse.
Et cet homme aux ailes assez grandes pour que tu t’y abrites.



L’espace fut d’abord trop grand pour toi, trop vaste. La carlingue trop fine entre toi et le vide, trop dénudée. L’équipage? Déconcertant, si différent des habitants de la villa, dépouillé de cette hautainerie dédaigneuse caractéristique pour laisser place à quelque chose de plus cru et probablement aussi plus inquiétant.

Alors tu te fais petite et discrète, ombre furtive dédiée à l’entretien de cette corvette qui te semble aussi infinie que le labeur qui t'est demandé. Ta petite taille t'envoie vite nettoyer les coins les plus exigus du vaisseau, quand tu ne t'uses pas les mains à la laverie ou que tu ne chancelles pas sous des piles de vaisselles plus grandes que toi. Souris timide qui se cache derrière de longues mèches sombres, ta solitude te pèse, alors que même le regard des tiens ne s’attarde pas sur toi, mécanisés et abrutis par trop de journées qui ne trouvent de différences que sur un calendrier.

Tes minces temps libres pendant lesquels l'épuisement ne te mène pas à ta couchette se comblent d’errances et d’explorations, mène tes pas jusqu’à cet homme, un spécialiste de la protection des systèmes dont les mains ne cessent de survoler claviers et tableaux de bord, dans un ballet fascinant que tu te plais à contempler. Si tu ne peux guère traînasser à ses côtés sans risquer de sévères punitions, tu reviens invariablement, pour observer, échanger des paroles timides, incertaines.

Si le temps t’a appris à craindre ces hommes à l’accent plus que discernable, celui-là te laisse une impression particulière. Peut-être est-ce dû à cette jambe qu’il s’arrête abruptement au-dessus du genou, le rendant moins redoutable, ou à son regard sombre qui te chuchote une bienveillance incongrue, mais indéfectible. Peut-être simplement une combinaison des deux. Quoiqu’il en soit, tu te laisses apprivoiser et après quelques semaines, tu te retrouves réquisitionnée à ses côtés, ahurie, puis ravie.

Il t’apprend tout, discrètement à l’insu de tous, par-ci par-là à travers les tâches qu'incombent ton éreintant statut. Si le travail est moins rude physiquement à ses côtés, il n'est pas pour autant moins fastidieux et fatiguant à travers toutes ces machines et systèmes. Ainsi, tu parviens doucement à déchiffrer ces symboles jusque-là inaccessibles et pourtant omniprésents, puis à utiliser ces impressionnants ordinateurs de bords. Si tes doigts sont d’abord maladroits, ils gagnent rapidement en souplesse et en précision.

La petite souris timide se fait avide de connaissances, des milliers de questions roulant sur ta langue pour se presser contre tes lèvres, ne demandant qu’à s’échapper pour mieux capturer de nouvelles réponses. Ce que c’est, comment ça marche, comment c’est fait, pourquoi cela et pas ci, pourquoi ci et pas cela, il n’y a pas de fin, pas de ligne d’arrivée face à ton esprit en ébullition qui se réveille d’un sommeil trop long. Et si tu t’avères douée avec les années, tu ne t’appartiens malheureusement pas plus qu’à ton premier jour sur la corvette, condamné à emmagasiner du savoir sans possibilité de le faire valoir.


Tu te rappelles le grondement des canons, le sol qui tremble sous tes pieds.
Les clameurs rageuses, l’agonie des hommes qui tombent au combat.
Tu te rappelles l’effroi qui t’avais fait minuscule souris recroquevillée.
Et les cris victorieux de ces nébuleux ennemis dont tu craignais la lame.

Tu te rappelles ces mains qui se sont pourtant tendues, amicales.
Cette tornade aux mèches de vent et au sourire fendu.
Tu te rappelles le flottement grisant qui succède à l’affranchissement.
Et cet oiseau de métal que tu désignas comme étant ta maison.



Corsaire. Si cet état est chaînes pour bien des membres de l’équipage, pour toi c’est une première bouffée d’air fraîche après presque une décennie d’apnée. Pourtant, tu mets des mois à te défaire de tes chaînes invisibles. Celles qui te font raser les murs, qui étouffent tes avis, qui te font baisser les yeux comme l’échine, qui enserrent ton cœur et camouflent ta personnalité. Si ton attachement et ta reconnaissance pour ta Capitaine-Tornade sont sans équivoque, il t’arrive d’être triste pour ton protecteur qui a su rendre tes dernières années aux mains des Trinitaires plus douces et qui s’est vu remit à l’Union Corporatiste. Même si tu ne le dis pas, tu espère qu’il se porte bien.

Avec les jours, puis les semaines, ton petit toi d’unicité se révèle, timidement, frileusement comme une jeune pousse à travers les dernières neiges. Parmi ces hommes et ces femmes, tu découvres des personnalités parfois surprenantes, mais souvent attachantes. Tu cherches ce que tu n’as plus eu depuis qu’on t’a arraché à ton village, le trouve en quelque sorte parmi l’équipage de l’Albatros… Et t’appliques par tous les moyens à constituer une ambiance plus communautaire, plus familiale, houspillant doucement les fortes têtes au besoin.

Présence discrète, mais joyeuse, tu te tailles ta place parmi eux, découvrant le plaisir de faire partir d’une équipe parmi celle des hackeurs et plus généralement parmi celle de l’équipage. Se voir reconnaître des capacités, qu’on t’aide à les parfaire, à en créer de nouvelles te pousse chaque jour à le peupler de nouvelles découvertes avec une gloutonnerie certaine.

Si vivre parmi les gens de l’Albatros te paît, les abordages sont taches sombres sur le tableau de ton bonheur. Indéfectiblement à ton poste, mais terrorisée à l’idée que des ennemies ne parviennent à s’infiltrer assez profondément dans la frégate pour t’atteindre. Chaque perte parmi l’équipage t’attriste profondément au mieux, même si tu tentes de ne pas laisser la peine t’affliger.

Ce monde auquel vous appartenez tous t’a appris très tôt que rien n’est éternel et qu’il importe d’apprécier et de profiter pleinement de chaque parcelle de bonheur, mieux, de veiller à le créer et ne point l’attendre.


Tu te rappelles ces discours qui électrisent l’air.
Les hommes avides de libertés, enflammées à en briller dans l’obscurité.
Tu te rappelles ces vaisseaux plongeant sur ceux de la Trinité.
Et le tonnerre des turbocanons retentissant dans la carlingue.

Tu te rappelles ton attente angoissée parallélisée aux affrontements.
Puis l’annonce de la victoire, mélange d’euphorie et de deuil.
Tu te rappelles ton centre du monde blessé et dénué de son sourire fendu.
Et l’attente aseptisée qui grignote ton cœur de doutes et de peines.



L’Albatros se fait pirate, te fait pirate, avant même que tu ne le réalises vraiment, révélant à la lumière d’une incandescente flamme des chaînes qui sont détruites sans retour arrière possible. Des départs qui te laissent un peu plus silencieuse qu'a l’accoutumée, puis des arrivées qui ravivent ta curiosité et te détourne de ce flottement impitoyable, mais vital.

L’ambiance se fait autre, semblable, mais différente, tout à coup doté d’une légèreté propre à une émancipation qui ne t’avait jamais manqué, mais qui créait un vide dans ces cœurs libres et vaillants. Doucement, tes doutes fondent comme neige au soleil alors que tu assistes à la renaissance de cet oiseau qui, s’il est synonyme d’air salin et de grand large, semble briller avec l’intensité d’un phœnix, ouvrant ses ailes pour mieux se faire maître de cette galaxie qui n’est nulle autre que la sienne.

Pour toi, peu importe qui ils sont, corsaire ou pirate, peu importe ce qu’ils font, ils sont ta famille, le sésame qui fait briller ton regard et fleurir un sourire sur tes lèvres.




Repaires temporels :
- 95 ADD : Naissance de Ren’anwë Tìe’kluü.
- 100 ADD : Prise du clan Tìe’kluü par les Trinitaires. Ren devient esclave dans une villa luxueuse (5a).
- 102 ADD : Insatisfait, par ses services, elle est revendue à une corvette marchande où elle a la chance que le spécialiste de la protection des systèmes la prenne discrètement sous son aile pour lui apprendre le métier (7a).
- 109 ADD : L’Albatros attaque et capture la corvette, le Capitaine Hannabeth Alvarez offre sa liberté à Ren qui décide de rester et devient officiellement apprentie hackeuse sur le vaisseau (14a).
- 110 ADD : L’Albatros jusqu’alors Corsaire profite d’une alliance avec des pirates dans le but de mettre la main sur un chargement trinitaire de durilium pour s’émanciper et redevenir pirates (15a).
Caractéristiques
10 PA - 1750 PE
Flamme Pirate : Modérée

Talent : Mémoire des noms et des dates d'anniversaire

Ren ne redemande jamais deux fois un nom ou une date d'anniversaire. Si vous avez le malheur de laisser tomber ces informations cruciales, prenez pour acquis qu'elle s'en souviendra encore dans dix ans ! Ce que vous risquez ? Des souhaits et un gâteau(parfaitement comestible).

Avantages :

• Animal de compagnie (0 PA) - Hilton - Femelle mo'eylan


Domaines d'expertise :

• Hacking - Initié
• Réparation des systèmes de commandement - Habile
• Renseignements - Habile
• Mémorisation - Habile
• Empathie - Habile
• Furtivité - Habile
Le joueur
Mahigan - 25 ans
• Double compte ? Si oui, listez les comptes précédents : Loukian Calkuen

• Comment avez-vous connu le forum ? À force d'errance, il me semble !

• A quel rythme répondez-vous généralement ? P'tite tendance aux rythmes nawak, bonjour. (Et désolé.)

• Si vous aviez un changement à proposer sur le forum, ce serait lequel ? RAS

• Si vous quittez le forum un jour, vous préférez que votre personnage... Retourne en prédef o>
Hannabeth Alvarez
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Hannabeth Alvarez
Capitaine de l'Albatros

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Bienvenue sur Hell Dorado

Hoist the colors so never shall we die.

Re-Bienvenue sur le forum, Ren !

OMG, je ne suis que joie et paillettes d’accueillir officiellement ta nouvelle petite  love

Tu sais déjà tout le bien qu je pense de ton interprétation de Ren' (et de ta plume  pinkheart ), tu la comprend aussi parfaitement bien que je l'avais imaginé, et encore plus. Tu l'amène plus loin, lui donne vie, je suis sous le charme bouhou J'ai pu lire l'histoire, et c'est avec bonheur que je te donne mon aval de créatrice du prédef, c'est tout parfait!  deadlyhug  Et god, les feels  ouin
(Seul mini détail, l'Albatros est une frégate, pas une corvette^^)

Je t'évite le blabla habituel, mais n'oublie pas que lorsque tu auras terminé ta fiche de nous le signaler sur le sujet Signaler une fiche terminée.

Bon courage pour la rédaction de ta fiche !  booty
Conrad Stackborn
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Conrad Stackborn
Capitaine du Liberty

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Corrections

Now some have died and some are alive. And others sail on sea with the keys to the cage, and the Devil to pay we lay to Fiddler's Green.

À modifier

Heu ? faut personnaliser il paraît. PAPOUILLE !! le Vampipougaroukrékrésovaj

Pas grand chose à dire en fait.
Dans l’ensemble on est plutôt d’accord. Il y a deux points seulement à retravailler.

1/- Il faut cependant changer le côté “discret” de ton personnage dans le caractère. C’était peut-être vrai quand elle était esclave mais plus maintenant. Rien que son physique fait qu’on la voit.

2/- Dans l’histoire on aimerait un poil plus de précision sur ce qu’elle fait tous les jours en travail d’esclave sur la corvette marchande. Des travaux de mousse sans doute, mais tu n’évoques l’entretien qu’à un endroit et ça ne rend pas l’effet esclave. Parce que même si un gars lui apprend des trucs… un esclave c’est fait pour faire le boulot prévu. Donc faut qu’on sente qu’elle bosse comme une esclave et que malgré la fatigue elle apprend à côté.

N'hésite pas à demander des précisions ou à poser tes questions si tu en as, nous sommes là pour ça !
Bon courage pour les modifications et n'oublie pas de nous signaler lorsque tu as terminé.
Ren'anwë Tìe'kluü
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Ren'anwë Tìe'kluü
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Des papouilles <3

Alors, pour le premier point, j'ai mis en gras ici ce que j'avais rajouter, suite à notre petit échange sur discord:

Tu es un courant d’air frais dans l’espace. On ne le remarque pas toujours, il n’est pas nécessairement puissant, mais il fait du bien où il passe. Une demoiselle de nature discrète, qui ne prend pas beaucoup de place, ne cherche ni l'attention, ni à se mettre aux devants de la scène, mais dont la présence se fait regretter quand elle n’est pas là.

Et pour le deuxième point, même principe. J'ai rajouter des exemples de tâches, mit l'accent sur le fait que c'est dur et fatiguant. Dans la dernière citation, je dis que c'est un peu moins rude parce qu'elle est réquisitionné aux côtés du spécialiste de la protection des systèmes (j'avais pas mit qu'il faisait ce métier, donc je l'ai rajouté pour que ça soit plus évident >< oups). Donc ce ne sont plus les mêmes tâches, même si elle continue de trimer fort:

Alors tu te fais petite et discrète, ombre furtive dédiée à l’entretien de cette corvette qui te semble aussi infinie que le labeur qui t'est demandé. Ta petite taille t'envoie vite nettoyer les coins les plus exigus du vaisseau, quand tu ne t'uses pas les mains à la laverie ou que tu ne chancelles pas sous des piles de vaisselles plus grandes que toi.

Tes minces temps libres pendant lesquels l'épuisement ne te mène pas à ta couchette se comblent d’errances et d’explorations, mène tes pas jusqu’à cet homme dont les mains ne cessent de survoler claviers et tableaux de bord, dans un ballet fascinant que tu te plais à contempler.

Il t’apprend tout, discrètement à l’insu de tous, par-ci par-là à travers les tâches qu'incombent ton éreintant statut. Si le travail est moins rude physiquement à ses côtés, il n'est pas pour autant moins fastidieux et fatiguant à travers toutes ces machines et systèmes.

J'espère que ça ira! Merci pour le temps passé sur ma fiche! o>
Ni'ohban
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Ni'ohban
Mystique et musicienne du Liberty

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The seas be ours and by the powers, where we will we'll roam.

Je déclare cette fiche officiellement VALIDÉE !

Attention, l'Albatros, voilà votre rayon de soleil tout en couleur qui débarque ! Tu l'as compris, et tu connais le chemin, mais néanmoins, c'est un gros bienvenue ! Très très bon choix de prédef d'ailleurs. J'ai beaucoup beaucoup aimé cette fiche ^^

La prochaine étape, avant de pouvoir te lancer dans le RP, est d'aller créer tes sujets dans la gestion de personnages. Premièrement, tu dois poster ton Journal de bord. Ensuite, si tu es le créateur d'un vaisseau spatial, tu dois également aller poster ta Fiche d'équipage.

Si tu le souhaite, tu peux également venir poster une Petite Annonce pour trouver un partenaire de RP. Finalement, n'hésite pas à venir jeter un oeil aux Quêtes et animations en cours.

Toute l'équipe du staff restera toujours disponible pour toi si tu as des problèmes demandes ou questions, alors n'hésite jamais à nous contacter. Bref, bravo pour ta fiche et bienvenue encore parmi nous.

De la part de toute l'équipe, nous te souhaitons bon jeu !
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